
À propos de cette revue
L'évolution actuelle de la médecine au sein du groupe social, la réglementation de plus en plus précise de l'activité médicale, les relations constantes entre activités médicales, organisation judiciaire et administration publique expliquent le développement de la médecine légale et du droit médical.
Historique
Le Journal de Médecine Légale et de Droit Médical existe depuis plus de 40 ans. C’est le Professeur Louis ROCHE qui en a été le fondateur. Cette publication s'inscrit dans la lignée des manuscrits publiés par ALEXANDRE LACASSAGNE qui a su développer l’humanisme médical. Actuellement, le Journal de Médecine Légale est l’organe d’expression de la Société de Médecine Légale de France. Il est la seule revue de Médecine Légale de langue française, sa diffusion est importante. Appartiennent au comité de rédaction les ¾ des professeurs de médecine légale de France. La revue publie des articles originaux et des articles visant des recherches de pointe, notamment dans le domaine de la toxicologie médico-légale, du délai post mortem. Le comité compte parmi lui des professeurs membres de l’académie de Médecine en particulier le Professeur Etienne FOURNIER, et des élus de l’Assemblée nationale (Professeur JARDET).
Contenu
Cette revue a pour objet de publier des articles originaux et de publier les communications les plus intéressantes qui sont présentées devant la Société de Médecine Légale et de criminologie de France qui se réunit une fois par mois. Ce journal publie des articles originaux dont beaucoup sont référencés dans les revues anglo-saxonnes. Le but de cette revue est de favoriser les jeunes auteurs, stimuler la recherche fondamentale dans le domaine de la médecine Légale et développer l’humanisme médical.
Le Public
Le public est essentiellement fait de médecins légistes et de médecins spécialisés dans le cadre de l’expertise du dommage corporel. Parmi le lectorat il faut compter des magistrats, des avocats pénalistes et des juristes. Un effort promotionnel doit être réalisé dans plusieurs axes vis-à-vis des étudiants en médecine non encore spécialisés et vis-à-vis des jeunes avocats.
