LE PRÉJUDICE DE DÉPERSONNALISATION CHEZ LES GRANDS TRAUMATISÉS CRÂNIENS
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https://doi.org/10.54695/dss.62.02.2825Mots-clés:
Préjudice de dépersonnalisation, Traumatisés crâniens graves, Nomenclature Dintilhac.Résumé
Les personnes atteintes de traumatismes crâniens graves
subissent une rupture d’identité entre ce qu’elles étaient
avant le fait traumatique et ce qu’elles sont devenues.
Cette perte d’identité est source de grande souffrance et
de mal-être, à l’origine d’un préjudice de dépersonnalisation, préjudice propre, qu’aucun autre préjudice prévu
par la nomenclature Dintilhac ne saurait indemniser.