Prise en charge des mutilations sexuelles féminines par les professionnels de santé de premier recours

Auteurs

Résumé

Les conséquences sont identiques voire plus graves lorsque les mutilations sont pratiquées par des profession-nels de santé et /ou dans un environnement médicalisé.Le groupe de travail souhaite que le terme « mineure » remplace les termes de fille et enfant. En précisant que c’est au sens de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de 0 à 18 ans.Au vu des complications sur la santé entre autres, la prévention est primordiale. Il est recommandé pour les professionnels en lien avec la famille et les enfants d’évaluer et de prévenir par tous moyens le risque de mutilation sexuelle féminine.

Publiée

2020-03-01

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