ORGANISATION RESPONSABLE

2025, une année d’audace et de reconnaissance multiple pour la Revue de l’Organisation Responsable

Charlène ARNAUD — 2025-12-19

Pour une deuxième année, la Revue de l’Organisation Responsable (ROR) a pu relever le défi de publier quatre numéros, dont un numéro spécial sur la fabrique de l’alternative dans les coopératives (2025-1), un numéro composé entièrement d’articles varia (2025-2), deux numéros varias incluant respectivement un cahier spécial sur les approches critiques de l’entrepreneuriat (2025-3) et un cahier créatif intitulé « Des maux, des images, des mots, des mirages » (2025-4). Cette diversité de formats éditoriaux témoigne de l’effort de la revue de favoriser la plurivocalité, la transdisciplinarité, la réflexivité et la créativité, toutes des attributs des connaissances de rupture. Alors que le nombre de contributions reçues et parues a augmenté, comparativement aux années antérieures, nous n’avons pas baissé la garde sur la nécessité de toujours concilier la rigueur et l’intégrité (tenant compte notamment des risques posés par l’avènement de l’intelligence artificielle générative) avec notre ambition d’accompagner avec bienveillance les autrices et auteurs ayant fait le choix de s’engager dans des recherches critiques sur les transitions socio-écolo-giques...

« Sans titre avec le nombre de signes au total !!! »

Alexandre ANTONIN — 2025-12-19

Il était une fois, dans le Laboratoire de Gestion et des Transitions Organisationnelles (LGTO), un collectif de chercheuses et chercheurs qui se demandaient (un peu, beaucoup !) comment changer le monde et le rendre plus soutenable. C’est alors qu’est née l’idée d’écrire ensemble un ouvrage qui s’intitulerait Management et Anthropocène. Désorganisons la gestion pour faire face aux enjeux climatiques.Pour construire cet ouvrage, nous avons fait intervenir Camille Messager, artiste plasticienne, qui a réalisé sept illustrations1, chacune correspondant à un chapitre de l’ouvrage...

Télétravail hyper flexible, outre-mer : quels risques sur l’évolution du contrat psychologique, l’engagement et l’intention de rester ?

Caroline DIARD — 2025-12-19

Cette contribution concerne une forme de télétravail atypique, hyperflexible, Outre-Mer (à 15 706 kms du lieu de travail habituel). La mise en œuvre de cette forme de télétravail est une réponse de l’organisation pour fidéliser le collaborateur dans l’entreprise. À travers une posture longitudinale, nous étudions la mise en place dans la même organisation (une Business School, BS), d’une forme de télétravail atypique pour un enseignant-chercheur. L’objectif de cet article est d’analyser les risques potentiels de la mise en œuvre du télétravail dans une situation extrême sur l’évolution du contrat psychologique, de l’engagement et l’intention de rester. Nous mobilisons la littérature relative au télétravail, au contrat psychologique, l’engagement et enrichissons cette littérature en la confrontant à une situation de télétravail extrême à travers une étude de cas unique exploratoire. Cette étude qualitative par entretiens semi-directifs explore la relation managériale dans un contexte de télétravail longue distance.
Les résultats de notre étude démontrent un déséquilibre du contrat psychologique en défaveur de l’employeur ce qui est d’ordinaire l’inverse. Ensuite, nous avons mis en exergue le lien entre télétravail hyperflexible et la gestion des doubles carrières. Cela nous permet également de conclure sur différents risques émergents dans une situation de télétravail extrême, apparus au fil du temps lors des entretiens, en particulier l’isolement extrême. Cette contribution montre qu’il est possible qu’un manque d’implication dans le collectif du travail, lié à un temps long hors de l’organisation, subvienne progressivement malgré une intention de rester et des capacités d’adaptation du salarié comme de l’organisation.

Revers à l’éco-anxiété : la stimulation des imaginaires désirables des étudiants en gestion par la création artistique

Yannick GOMEZ — 2025-12-19

Pas de résumé

Pour un climat de soin

Fabienne BORNARD — 2025-12-19

Pas de résumé

« Ma fille sera influenceuse, en dépit de tout le monde ! » du bourgeois gentilhomme... au bourgeois numérique

Bernard FALLERY — 2025-12-19

Pas de résumé

Danser, échanger, coopérer, pour une meilleure société : la société circulaire par l’intelligence collective

Irène, Lilas, Jézabel et Alya GALY — 2005-12-19

Pas de résumé

Entre-prendre 2mains

Caroline VERZAT — 2025-12-19

Pas de résumé

La dernière asperge sauvage

Victor JAMET — 2025-12-19

Pas de résumé

Le projet architectural du pôle éducatif de la mosson vu par l’éthique spatiale : chimère ou réalité ?

Célia AUQUIER — 2025-12-19

Vers une définition de la notion de travail durable étendue au travail équitable et au travail viable

Michael RIOUX — 2025-12-19

Le travail durable vise à transformer l’activité salariée dans le respect des trois piliers du développement durable. Bien que certaines politiques mises en œuvre en son nom soutiennent à leur échelle le droit de l’environnement, le droit du travail ou la protection de la santé publique, aucune n’a pour ambition de promouvoir un travail à la fois économiquement positif et respectueux de l’humain et de l’environnement.
La notion de travail durable est alors à rechercher dans l’alliance de ces politiques qui contribuent à leur échelle à une certaine compréhension du travail durable. L’intégration de normes environnementales au sein de l’entreprise renforce alors l’obligation pour celle-ci de prendre en compte l’environnement, tandis que le travail décent améliore l’aspect qualitatif de l’emploi. En agissant de concert, la combinaison de ces deux politiques qui se concentrent sur la structure employeuse correspond à ce qui est attendu du travail durable.

Basculer et entreprendre : quand des collectifs engagés pour les bascules socio-écologiques jouent le rôle d’incubateur. le rôle de deux collectifs engagés, la fresque du climat et l’archipel la bascule

Céline DEL BUCCHIA — 2025-12-19

En réponse à l’insuffisance de modèles sociétaux alignés avec les défis socio-écologiques, certains individus s’engagent personnellement et professionnellement dans la transition écologique. Nous nous intéressons ici aux porteurs de projets visant à contribuer aux bascules socio-écologiques, en alignement avec les limites planétaires. En nous appuyant sur leurs récits de vie, nous cherchons à identifier ce qui rend possible et favorise leur passage à l’action. Nous rendons compte de la manière dont deux collectifs engagés contribuent à rendre possible ce double mouvement de bascule-et-entrepreneuriat. Nous discutons des spécificités et complémentarités de ces collectifs comme communautés de pratiques engagées et incubateur émergeant. Au sein de la littérature sur l’entrepreneuriat soutenable, notre contribution permet de nourrir la notion d’entrepreneuriat activiste et son soutien.

Choisir ou ne pas choisir une illustration

Camille MESSAGER — 2025-12-19

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Choisir sa voie(x)

Camille PFEFFER — 2025-12-19

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Sortir des récits classiques pour ouvrir les possibles : du mystère des Faluns à la disparition de la Loire

Marie-Julie CATOIR BRISSON — 2025-12-19

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Le sonneur à ventre jaune ou la démocratie au secours du vivant

Vincent CLERGIRONNET — 2005-12-19

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Des mots et des maux : « je demande réparation ! »

Maud HERBERT — 2025-12-19

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Empruntons d’autres empreintes

Aude LARMET — 2025-12-19

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Laisse de mer : sur les chemins des déchets et des traces

Stéphanie HAVET-LAURENT — 2025-12-19

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